Derrière l'entêtement du gouvernement à faire passer de force sa réforme des retraites,
"...c’est bien de 2027 [année de la prochaine élection présidentielle] dont nous devons nous préoccuper. Il est grand temps que nous ne soyons plus les seuls à comprendre qu’en cas de défaite, ce n’est pas le syndicalisme qui sera perdant mais notre démocratie."
C'est l'analyse de la CFDT de la situation actuelle.
Pour nos retraites, pour le mouvement syndical mais surtout
pour notre démocratie
la mobilisation du 7 mars doit être massive.